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La Dynastie du Royaume de Belgique
8 août, par Marc WeikmansIci sont évoqués l’avènement du Royaume de Belgique et ce qu’ont apportés nos Rois au Royaume depuis la création de la Belgique à nos jours. -
Origines de la dynastie
30 juillet, par Marc WeikmansIntroduction La Maison de Wettin La Lignée Ernestine La Maison de Saxe-Cobourg
Introduction
Si le Roi des Belges descend en droite ligne masculine d’une dynastie allemande, on retrouve également dans son ascendance la plupart des souverains qui ont régné sur les territoires de l’actuelle Belgique avant 1831.
Par sa grand-mère, la Reine Astrid, le Roi Philippe descend de Guillaume 1er, Roi des Pays-Bas, qui fut notre souverain de 1815 à 1830, ainsi que de Joséphine de Beauharnais, l’épouse de (...) -
l’arbre
30 juin, par Marc WeikmansL’arbre
Grand et fort,
D’âge mur ;
Comme deux doigts
Tu as deux troncs ;
Les mêmes racines.
Père et mère à la fois,
Ta cime fait ombrage,
Couvre et protège
Tes enfants…
Surement !
Père et mère sans doute,
De ces tout petits
Dont certains ont chu
En sécurité dans le bois,
Sous ta ramure à deux têtes.
Père et mère aussi,
De ces tout petits
Dont certains ont chu,
Sur l’herbe exposés
Sous ton feuillage ombrageux.
Bien à l’abri,
Gît ton grand-père
Entouré par ses petits-enfants ;
Sa (...) -
Sous un dais étoilé
30 juin, par Marc WeikmansSous un dais étoilé,
dans le silence mat et froid,
des miaulements éperdus,
d’un chaton égaré
se font entendre pleins d’effrois ;
affamé sans doute et transi.
Le matin pour lui,
a des allures d’éternité ;
la nature dans son étui
de givre et de gelée,
attends sans celui-ci,
la lumière de l’astre du jour
annonciatrice de réconfort.
Mes pas s’éloignent
Sonnants et trébuchants
sur le pavé plaignant
des figurines cristallines
crissant en se brisant.
Et dans le lointain,
une plainte vers (...) -
Les chênes
30 juin, par Marc WeikmansLes chênes
Non loin d’un chêne fourchu,
Feuillu
Très dru,
Gisait le tronc vermoulu
Rompu,
Moussu,
D’un autre arbre à jamais vaincu.
Alentour, pointant de l’herbage,
Des tigettes en leur plus tendre âge
Hissaient un regard curieux
Vers les sommets vertigineux
De l’ancêtre majestueux.
Ainsi se côtoyaient en silencieuse entente,
Insensibles à un monde envahis de fracas,
Plusieurs vies, tour à tour chassant la précédente
Mais créant celle aussi qui l’ensevelira.
Suivant le même destin, (...) -
Des haïku
25 décembre 2018, par Marc WeikmansPour les puristes, la forme traditionnelle du haïku est composée de 17 mores 5/7/5. mais des transgressions existent et sont parfois tolérées.
Les haïkus avec quelques mores de plus ou de moins sont parfois tolérés, sous la forme hachō (rythme brisé), et des termes techniques les désignent : un haïku de plus de 17 mores est dit ji-amari (« lettres en trop »), et un de moins de 17 mores est dit ji-tarazu (« lettres en moins ») ; cependant, ils ne sont considérés comme de bons haïkus que si la brisure semble inévitable pour obtenir l’effet produit. Les haïkus de type 5-5-7 ou 7-5-5 (voire 5-12 ou 12-5 quand un mot enjambe une division) sont plus fréquents. (L’œuvre du troisième maître classique, Issa, présente de nombreux exemples de chacune de ces transgressions.). Dans cet article, quelques exemples de haïku classiques, de hacho, de ji-amari, de ji-tarazu et muki-haïku. -
Le Haïku
24 décembre 2018, par Marc WeikmansPar cet article je fait l’apologie de cette forme poétique toute particulière qu’est le haïku en donnant aussi l’explication de ses origines et sa distinction des autres formes poétiques japonaises que sont les tanka et renku. Je tente ici d’être le plus complet que possible en citant par périodes, les grands poètes japonais. -
Le Valeureux liégeois
23 décembre 2018, par Marc WeikmansComme on le constate souvent, les chants patriotiques naissent de la volonté populaire de s’exhorter au courage et de faire appel à la fibre patriotique de tous, pour contribuer à une cause commune que tous croient juste. Cependant, lorsque ces chants sont créés, ils nécessitent un point de ralliement, soit une personne qui rassemble les strophes et les soumettent en un texte, appuyé d’un air qui fera l’unanimité. C’est ainsi que Marseillaise, Brabançonne, Martiniquaise et autres, ont connu plusieurs versions qui ont été, à des périodes successives, adaptées au contexte politique et social du moment.Au travers de cet article, je tente, non seulement de démontrer le contexte de ce chant, mais aussi d’en retracer les évolutions.
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Jean Premier dit "Le posthume"
23 décembre 2018, par Marc WeikmansLe 4 juin 1316, le roi de France Louis le Dixième décédait soudainement d’un refroidissement contracté après une partie de paume trop ardemment disputée. Six mois plus tard, dans la nuit du 13 au 14 novembre, son épouse, Clémence de Hongrie, donnait le jour à un garçon qui fut appelé Jean Premier, ‘’Le Posthume’’. Héritier du trône, le bébé ne vécut malheureusement que cinq jours, cédant ainsi la couronne à son oncle Philippe. Or voilà que, quarante ans plus tard, en 1356, à Sienne, un moine dominicain, Fra Bartolomeo Mino, raconte à tout qui veut l’entendre, qu’un de ses pénitents, le marchand Giannino Baglioni est en réalité, ce Jean le Posthume que l’on croyait mort au berceau – si tant est que l’on s’en souvienne !Comment croire pareille extravagance ?
Cet article est le fruit du travail de recherche de mon père José Lambert Weikmans -
Les sans-culottes
22 décembre 2018, par Marc Weikmans« Sans-culottes » est le nom donné, au début de la Révolution française de 1789, par mépris, aux manifestants populaires qui portent des pantalons à rayures et non des culottes, symbole vestimentaire de l’aristocratie d’Ancien Régime.
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